J'vais peut-être réussir à tout oublier...
Du moins... je pars pour un mois... un long mois sans ma famille, mes amies, mes amours...
Un long mois à dormir, travailler et penser... un long mois à essayer d'oublier, et espérer réussir.
Je reviens d'ici samedi avec un ordinateur...
25 juillet 2006
24 juillet 2006
Un vide au creux du coeur
J'me sens vide. Vide de sentiments, vide de ce que je suis. Je sais, je devrais dormir, et me laisser rêver. Il y a si longtemps que je n'ai pas dormi. Environ 65 heures je crois. Et ma mère. Fait 2 fois qu'elle me dit d'y aller, mais incapable. Besoin intense de libérer en masse le vide que je sens au creux de mon coeur, au creux de mon ventre. J'ai des crampes à n'en plus finir et je souffre continuellement. Autant physiquement que moralement. Autant au creux de mon p'tit ventre que de mon p'tit coeur.
C'est pas sa faute. C'est pas la mienne. C'est la faute de la vie, la faute du destin. Faute de chance, je me raccroche aux seuls bouts que j'ai partagé avec lui. J'ai l'impression qu'en deux jours, je l'ai connnu beaucoup plus qu'une personne aurait pu le connaître en 2 ans. J'ai l'impression qu'il me livre tout ce qu'il est, ce qu'il veut, ce qu'il aime. Il agit probablement pareil avec n'importe quelle autre fille, mais je me surprends à rêvasser qu'il arrive à se livrer d'une manière beaucoup plus naturelle, facile, à moi.
Je déteste le fait que je doive partir. Je déteste le fait que monsieur va avoir une job de fds. Je déteste le fait qu'il a un appart et un char à 2h de moi et que je sais pertinemment qu'il en profite à temps plein. Je déteste le fait qu'il ne reviendra que trop rarement ici, et qu'il n'aura encore que de trop rare moment à m'accorder, et sûrement qu'ils seront vides de sens, vides de vie, vides de ce qu'on aurait peut-etre pu être.
Avec des "si", on referait le monde. Je voudrais refaire mon monde, à moi. Dans mon monde à moi, il habiterait la maison côte à la mienne. Dans mon monde à moi il voudrait refaire le monde pour me voir sourire. Dans mon monde à moi, il se foutrait de tout autour, de la distance, des paroles ou des gestes complètement faux. Dans mon monde à moi, ce serait lui qui écrirait sur moi en ce moment. Dans mon monde à moi, il apprendrais à m'aimer, à me le montrer, et à me le dire comme je voudrais pouvoir en faire tout autant également.
Dans mon monde à moi, je ne ferais pas seulement que penser à lui, je serais à lui et avec lui.
C'est pas sa faute. C'est pas la mienne. C'est la faute de la vie, la faute du destin. Faute de chance, je me raccroche aux seuls bouts que j'ai partagé avec lui. J'ai l'impression qu'en deux jours, je l'ai connnu beaucoup plus qu'une personne aurait pu le connaître en 2 ans. J'ai l'impression qu'il me livre tout ce qu'il est, ce qu'il veut, ce qu'il aime. Il agit probablement pareil avec n'importe quelle autre fille, mais je me surprends à rêvasser qu'il arrive à se livrer d'une manière beaucoup plus naturelle, facile, à moi.
Je déteste le fait que je doive partir. Je déteste le fait que monsieur va avoir une job de fds. Je déteste le fait qu'il a un appart et un char à 2h de moi et que je sais pertinemment qu'il en profite à temps plein. Je déteste le fait qu'il ne reviendra que trop rarement ici, et qu'il n'aura encore que de trop rare moment à m'accorder, et sûrement qu'ils seront vides de sens, vides de vie, vides de ce qu'on aurait peut-etre pu être.
Avec des "si", on referait le monde. Je voudrais refaire mon monde, à moi. Dans mon monde à moi, il habiterait la maison côte à la mienne. Dans mon monde à moi il voudrait refaire le monde pour me voir sourire. Dans mon monde à moi, il se foutrait de tout autour, de la distance, des paroles ou des gestes complètement faux. Dans mon monde à moi, ce serait lui qui écrirait sur moi en ce moment. Dans mon monde à moi, il apprendrais à m'aimer, à me le montrer, et à me le dire comme je voudrais pouvoir en faire tout autant également.
Dans mon monde à moi, je ne ferais pas seulement que penser à lui, je serais à lui et avec lui.
16 juillet 2006
Au menu cette semaine
Au menu cette semaine, en table d'hôte
Appéritifs
De délicieuse téquila bien trempée
Quelques shooters choisies avec minutie
Un tas de sangria et de breezers
Une touche finale de nimporte quelle bière qui ne goûtera plus rien à la fin.
Potage
Deux pitounes de Dolbeau beach tout prête pour la fiesta
Plat principal
Une Andréanne à la sauce onctueuse de vin blanc.
Une Kariann badigeonnée dans une délicieuse nappe de vin rouge.
Desserts
Un arrêt spécial dans tous les petits coins encore ouverts au petites heures du matin
L'heureuse chance de nous payer un super hamburger double avec grosse frite
Peut-être l'immense plaisir de nous ramener sous notre porche
Venez manger! C'est ouvert à tous, mais surtout au plus beaux et plus gentils ;) (au forum ce vendrediiii!!)
Appéritifs
De délicieuse téquila bien trempée
Quelques shooters choisies avec minutie
Un tas de sangria et de breezers
Une touche finale de nimporte quelle bière qui ne goûtera plus rien à la fin.
Potage
Deux pitounes de Dolbeau beach tout prête pour la fiesta
Plat principal
Une Andréanne à la sauce onctueuse de vin blanc.
Une Kariann badigeonnée dans une délicieuse nappe de vin rouge.
Desserts
Un arrêt spécial dans tous les petits coins encore ouverts au petites heures du matin
L'heureuse chance de nous payer un super hamburger double avec grosse frite
Peut-être l'immense plaisir de nous ramener sous notre porche
Venez manger! C'est ouvert à tous, mais surtout au plus beaux et plus gentils ;) (au forum ce vendrediiii!!)
12 juillet 2006
Le remède
Prenez un numéro et mettez-vous en file derrière moi, sans me dépasser je vous prie. De toute manière, c'est assez visible que j'en aie encore plus besoin que n'importe qui. Je paraît peut-être folle. Savez-vous le plus drôle? C'est totalement vrai. Problème psychologique, psychiatrique, moral; je l'ai ai tous. Et vous croyez vraiment être les seuls à croire ça? Voyons... tout le monde le sait, arrêtez de croire que vous êtes les seuls au monde et de vous prendre la grosse tête, vous ne devez qu'être les derniers, bon, les avants-derniers peut-être, je vous laisse une chance, question de ne pas vous croire complètement raté. Bon, voilà, c'est mon nom qui est appelé. Laissez passer, je vous pris. De la place, de l'air. Vous ne voudriez tout de même pas que je pète ma crise maintenant, à l'instant, là. Ah! Mais qui dont est cette folle aux cheveux blonds qui agis comme une effrontée? Sachez chers gens que ce n'est pas du tout ma faute à moi. C'est un problème dans la tête, vous savez bien! Je n'y peux rien et les médecins disent que c'est incurable, sauf par un seul moyen. Vous savez ce que c'est? La maladie de la vie, et mon seul remède, la mort.
11 juillet 2006
Poème anti-poétique
Un "poème", si on peut dire, qui m'est venu comme ça, à la va vite. Je ne me souviens plus vraiment dans quelle circonstance que je l'ai écrit, et je ne sais même plus pourquoi. Je ne pourrais vous dire pourquoi, c'est à peine si je me rend compte que c'est bel et bien moi qui l'ait écrit... Je ne sais même pas ce qu'il veut dire... Et puis c'est le premier "texte" anglais que j'écris, et comme je suis une nulle totale en anglais, bah je sais qu'il doit être tout croche... Il me ressemble alors.
A last view on this door
Well, it's nothing like another quit
And it was so long to tight you high
Nothing like another man left my life
There's nothing to say, nothing to understand
But explain me why
Why this door has been shut
Noisely.
A last view on this door
Well, it's nothing like another quit
And it was so long to tight you high
Nothing like another man left my life
There's nothing to say, nothing to understand
But explain me why
Why this door has been shut
Noisely.
L'apprentissage désappri
Tu m'as appris à aimer et à espérer, à tout te donner sans compter. Tu m'as appris à t'attendre jusqu'à l'infini et peut-être même au-delà, sais-tu, mais je ne sais plus. Tu m'as appris à ne pas chercher à te comprendre et de me contenter de ce que tu avais à me donner. Peut-être qu'un jour, je réussirai à te pardonner et à vivre avec ton souvenir. J'ai oublié les sons et les odeurs qu'avaient la vie avec toi. J'ai oublié comment être incapable de vivre sans toi. J'ai oublié ton rire autant que tes sourires. J'ai oublié chaque moindre soupirs. Tu me prendrais dans tes bras que je ne réaliserais même pas que c'est toi, tellement j'ai t'ai tout oublié. J'ai même oublié chaque mot ou chaque "je t'aime" que tu murmurais à demi-mot. J'ai oublié l'odeur qui restait dans l'air et qui m'indiquait que tu étais passé. J'ai oublié chaque parcelle de peau chez toi, tout autant que sa douceur. Je me suis peut-petre même oublié en chemin qui sait. Cette petite fille qui ne demandais qu'un peu de ton attention, je l'ai laissé en chemin, au même endroit où j'ai laissé tous ces souvenirs, où je t'ai laissé, toi.Et je ne veux même pas la retrouvé, cette petite fille. Je veux laisser tout ça derrière. J'ai pris une route que tu ne pouvais prendre et je t'ai laissé là, à l'intersection que nos deux vies prenaient. J'ai tout oublié de l'amour, et c'est bien la seule chose que je souhaiterais me souvenir de ce que tu m'as appris.
10 juillet 2006
Soirée de feux d'artifices
Une soirée de mélange de mots et de couleurs. Depuis si longtemps, j'espère tomber amoureuse, que mes pensées ne soient diriger en tout temps vers une seule et unique personne. Et puis je crois y être arrivé. Pourtant, je vudrais tout effacer. Après m'être fait plus ou moins ignoré magnifiquement par le gars qui m'a demandé de sortir, je l'ai vu traversé la foule. Lui. J'en ai déja parlé. Le post où j'ai parlé de lui. À travers des regards et quelques sourires crispés, j'ai réussi à le rejoindre et à me noyer dans ses yeux (d'un bleu terriblement profond et perçant, que j'y vois la mere sans y faire naufreage). J'ai pas pris peur, lui non plus. Mais des parties de notre conversation me revienne sans cesse en boucle dans ma mémoire, comme une image en cinémascope.
Lui: Tu peux me dire pourquoi t'es pas née deux ans plus tôt?
Moi: C'est pas ma faute, c'est toi qui es arrivé trop de bonne heure.
Lui: T'as vraiment mais vraiment de beaux yeux.
Moi: Bah normal, un peu comme tout le monde.
Lui: On a tous quelque chose de particulier, qui est mieux que n'importe qui, et toi c'est tes yeux.
Moi: Que veux-tu que je réponde à ça, merci (rires)
Lui: Je comprends pas encore pourquoi tu n'es pas née deux ans plus tôt.
Moi: Je t'ai dit que c'était ta faute.
Lui: (rires)
Et parmi tous nos regards, nos détournements de yeux par la gêne ou le désir, il continue à me faire frissoner et à me faire demander pourquoi je ne lui saute pas dessus au lieu de m'accrocher à cette table pour me retenir, lorsqu'il me regarde de cette façon si... si.
Moi: La dernière fois, j'avais bu, donc je ne me gênais pas pour te coller.
Lui: Et là, tu te retiens mais t'en a le goût?
Moi: Oh ouais, plus que tout.
Lui: Alors je vais le faire puisque tu es trop gênée.
Et là, j'ai ressenti les mêmes frissons indescriptibles que deux mois plus tôt. Il est présent jusqu'au bout de ses doigts et que dans son souffle chaud au creux de mon cou, et son corps qui frissonne près du mien.
Lui: T'as des criss de beaux yeux.
Moi: T'arrête pas de me le dire, je ne sais pas quoi répondre à ça.
Lui: Alors ne dit rien.
Et on continue à se chercher du regard, se perdant par intervalle. Je rougis; il détourne les yeux.
Moi: Ça t'amuse de me fixer comme ça?
Lui: Non, pas vraiment, sinon je ne détournerais pas le regard.
Moi: Alors pourquoi tu le fais?
Lui: Pour m'empêcher de faire quelque chose de mal.
Moi: Ah bon, et c'est quoi?
Lui: T'embrasser...
Moi: Ah, c'est dommage.
Lui: Ne me dit pas que tu n'en as pas envie autant que moi.
Moi: Mais je n'ai jamais dit le contraire.
Lui: Fuck... (et détourne les yeux encore une fois)
Moi: (lui remanant le visage et plantant les yeux dans les siens) Quoi?
Lui: J'te veux...
Et pour la première fois, c'est à moi de détourner les yeux des siens.
Lui: C'est bientôt fini.
Moi: Je sais (la moue)
Lui: Promets-moi une seule chose.
Moi: Tout pour toi?
Lui: Ne te rends jamais compte que tu es belle.
Moi: De quoi tu parles?
Lui: T'es une des plus belles filles que je connaissent, mais tu ne le sais pas et c'est ça qui est important. Ne deviens pas une des ces garces qui savent qu'elles sont belles.
Moi: Mais je sais que je ne suis pas belle.
Lui: Oui, et tu va te rendre compte un jour que tu peux avoir n'importe quel gars à tes pieds et briser le coeur que tu veux.
Moi: Pourtant, le seule coeur que je veux briser, j'y arriverai jamais,
Lui: Il est beaucoup plus briser que tu ne le penses.
Et les lumières se sont allumées en même temps que les étoiles dans mes yeux sont apparues.
Lui: Colle-moi une dernière fois pour la soirée.
Et tout en sentnt son nez se trouver une place dans mes cheveux et mon cou, je fermai les yeux tout en tentant de graver en moi les derniers instants dans ses bras, son odeur, son souffle, ses mains perssant le bas de mon dos. Et mon coeur battent trop fort dans ma poitrine.
Lui: Vien me parler demain si tu peux.
Je ne sais pas s'il a le même pincement au coeur que moi lorsqu'il me serre contre lui. Je ne sis pas si son coeur cogne fort dans sa poitrine tout autant que le mien lorsque je l'entend me dire tout ça. Je ne sais pas ce qu'il veut, ce qu'il cherche, qui il cherche, mais j'espère un jour décrocher une place bien à moi dans son ptit monde.
Lui: Tu peux me dire pourquoi t'es pas née deux ans plus tôt?
Moi: C'est pas ma faute, c'est toi qui es arrivé trop de bonne heure.
Lui: T'as vraiment mais vraiment de beaux yeux.
Moi: Bah normal, un peu comme tout le monde.
Lui: On a tous quelque chose de particulier, qui est mieux que n'importe qui, et toi c'est tes yeux.
Moi: Que veux-tu que je réponde à ça, merci (rires)
Lui: Je comprends pas encore pourquoi tu n'es pas née deux ans plus tôt.
Moi: Je t'ai dit que c'était ta faute.
Lui: (rires)
Et parmi tous nos regards, nos détournements de yeux par la gêne ou le désir, il continue à me faire frissoner et à me faire demander pourquoi je ne lui saute pas dessus au lieu de m'accrocher à cette table pour me retenir, lorsqu'il me regarde de cette façon si... si.
Moi: La dernière fois, j'avais bu, donc je ne me gênais pas pour te coller.
Lui: Et là, tu te retiens mais t'en a le goût?
Moi: Oh ouais, plus que tout.
Lui: Alors je vais le faire puisque tu es trop gênée.
Et là, j'ai ressenti les mêmes frissons indescriptibles que deux mois plus tôt. Il est présent jusqu'au bout de ses doigts et que dans son souffle chaud au creux de mon cou, et son corps qui frissonne près du mien.
Lui: T'as des criss de beaux yeux.
Moi: T'arrête pas de me le dire, je ne sais pas quoi répondre à ça.
Lui: Alors ne dit rien.
Et on continue à se chercher du regard, se perdant par intervalle. Je rougis; il détourne les yeux.
Moi: Ça t'amuse de me fixer comme ça?
Lui: Non, pas vraiment, sinon je ne détournerais pas le regard.
Moi: Alors pourquoi tu le fais?
Lui: Pour m'empêcher de faire quelque chose de mal.
Moi: Ah bon, et c'est quoi?
Lui: T'embrasser...
Moi: Ah, c'est dommage.
Lui: Ne me dit pas que tu n'en as pas envie autant que moi.
Moi: Mais je n'ai jamais dit le contraire.
Lui: Fuck... (et détourne les yeux encore une fois)
Moi: (lui remanant le visage et plantant les yeux dans les siens) Quoi?
Lui: J'te veux...
Et pour la première fois, c'est à moi de détourner les yeux des siens.
Lui: C'est bientôt fini.
Moi: Je sais (la moue)
Lui: Promets-moi une seule chose.
Moi: Tout pour toi?
Lui: Ne te rends jamais compte que tu es belle.
Moi: De quoi tu parles?
Lui: T'es une des plus belles filles que je connaissent, mais tu ne le sais pas et c'est ça qui est important. Ne deviens pas une des ces garces qui savent qu'elles sont belles.
Moi: Mais je sais que je ne suis pas belle.
Lui: Oui, et tu va te rendre compte un jour que tu peux avoir n'importe quel gars à tes pieds et briser le coeur que tu veux.
Moi: Pourtant, le seule coeur que je veux briser, j'y arriverai jamais,
Lui: Il est beaucoup plus briser que tu ne le penses.
Et les lumières se sont allumées en même temps que les étoiles dans mes yeux sont apparues.
Lui: Colle-moi une dernière fois pour la soirée.
Et tout en sentnt son nez se trouver une place dans mes cheveux et mon cou, je fermai les yeux tout en tentant de graver en moi les derniers instants dans ses bras, son odeur, son souffle, ses mains perssant le bas de mon dos. Et mon coeur battent trop fort dans ma poitrine.
Lui: Vien me parler demain si tu peux.
Je ne sais pas s'il a le même pincement au coeur que moi lorsqu'il me serre contre lui. Je ne sis pas si son coeur cogne fort dans sa poitrine tout autant que le mien lorsque je l'entend me dire tout ça. Je ne sais pas ce qu'il veut, ce qu'il cherche, qui il cherche, mais j'espère un jour décrocher une place bien à moi dans son ptit monde.
Ma vie étourdie
Quand tout se passe complètement à l'opposée de ce que l'on a désiré... mais qu'on en retire tout autant d'émotions. Mes idées se mélangent et se croisent. L'histoire à mon retour du travail.
(P-S: Rafraîchissez la page pour voir le nouveau design de mon blog, si vous ne le voyez pas déjà en noir.)
(P-S: Rafraîchissez la page pour voir le nouveau design de mon blog, si vous ne le voyez pas déjà en noir.)
05 juillet 2006
Mes réalisations CSS (1)
Et voila! Je vien d'apprendre quelque chose de plus en CSS!
Regarde la bête, mesdames et messieurs :).. Oui j'avoue, je suis carrément et extrèmement fière de moi :) Et ça n'a pas pris plus que 5 minutes (Survolez le lien que je vous donne ;))
Cliquez ici! Et bien voila, entrez dans mon deuxième monde, mon deuxième blog =).
Regarde la bête, mesdames et messieurs :).. Oui j'avoue, je suis carrément et extrèmement fière de moi :) Et ça n'a pas pris plus que 5 minutes (Survolez le lien que je vous donne ;))
Cliquez ici! Et bien voila, entrez dans mon deuxième monde, mon deuxième blog =).
03 juillet 2006
Quand rien n'est supportable, ou insupportable
J'avais cru que ce serait merveilleux. J'avais cru que j'aurais un jour une chance, j'avais cru que quelque chose de bon m'arriverait, à mon tour. Mais rien de tout ça ne s'est produit. Rien ne va bien, mais rien ne va mal. Il manque seulement quelque chose. Je veux faire la fête et m'amuser... J'en ai bien besoin, je ne supporte plus rien.
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